A partir du 23 mars, durant toute la semaine (bâtiment A1 sur le campus), vous aurez la possibilité de réfléchir sur ce phénomène sociétal.

A cette occasion, plusieurs actions fortes ont été mises en place :

• Une amorce du projet par l’installation d’une bannière permanente en janvier au sein de la cafétéria Thémis, décomptant et actualisant le nombre de décès des femmes des suites de violences conjugales depuis le début de l’année 2020.
• Une conférence table ronde le premier jour de la semaine de 18 heures 15 à 20 heures (amphithéâtre 400) pour débattre d’une interrogation d’actualité : faut-il intégrer le terme
  « féminicide » dans le Code pénal ? Nous vous proposons de démêler le vrai du faux, et de réfléchir avec une professeure et deux praticiennes du droit, ainsi que l’ensemble du public, sur l’opportunité d’ériger le meurtre d’une femme à cause de son genre en infraction spéciale.
• Tout au long de la semaine, retrouvez également une exposition d’affiches choc mettant en lumière la réalité des violences, disposée dans le hall principal du bâtiment.

Des flyers seront également distribués en prévision de cette semaine d’action, comportant le programme, ainsi que les numéros d’urgence à contacter en cas de faits de violences.

En parallèle de cet évènement, retrouvez un stand de dispositifs contre le harcèlement de rue, le 24 mars dans le hall principal, de 9 heures à 18 heures.

Cette action a vocation à sensibiliser le public et inviter les esprits à la réflexion. Il est aujourd’hui nécessaire de comprendre les enjeux de cette problématique, afin de mieux
l’appréhender. C’est ce à quoi nous vous invitons cette semaine.

Les violences faites aux femmes nous concernent tous.